Caroline Faillet, cofondatrice du Cabinet de conseil Bolero, spécialisé dans l’influence du numérique, dresse un constat sans détour : “c’est une vraie prise de risque pour Google qui devra donner une ou deux réponses au maximum aux requêtes vocales“. Elle précise que la firme de Mountain View n’a “pas de position officielle aujourd’hui sur son modèle publicitaire autour du vocale” et que tous les scénarios restent possibles”.