“Ou quand la netnologie vient au secours des sondages. Les Municipales 2015, le Brexit, Trump, les Primaires… Les échecs de l’industrie du sondage se suivent et se ressemblent sans que l’on remette en cause les méthodes. S’il y a 80 ans, il faut avouer que le sondage sur un échantillon ouvrait un champ fascinant d’investigation de l’opinion, la profusion de données à notre disposition aujourd’hui devrait susciter une remise en question…”
Lire la tribune de Caroline Faillet dans Les Echos – 26/01/2017